5 décembre 2005
Il vaut mieux être haïs pour ce que l'on est, qu'être aimé pour ce que l'on n’ est pas.
Bon, moi je ne déteste personne. Sauf les cons. Sauf les dictateurs de la pensée "politiquement correcte"
mais aussi les doctrinaires, les dogmatiques, les pisse-froid, les kamikases et les aparatchics.
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